- LR, comme prévu, court vers l'implosion. Ses "centristes" sont mieux assurés de préserver leur avenir (en termes de prébendes électorales) chez Macron que dans ce qui survit de leur gloire passée. Les historiques de sa frange droitière ont quelque chance de se recycler chez MLP, même s'ils doivent pour cela, devenus "migrants sans papiers", rabattre de leur superbe et faire un "voyage à Canossa".
- LFI, minée par des contradictions idéologiques internes, comporte de brillantes individualités, mais elle a résisté difficilement à la diabolisation constante et soutenue dont elle a fait les frais de la part des médias dominants et de leurs chiens de garde, de même qu'à une ligne multipolaire de moins en moins lisible pour le commun des électeurs.
- Le P.S, par suite d’une dérive accentuée vers le libéral-socialisme et l’atlantisme est désormais réduit à une misérable peau de chagrin qui se réclame "de gauche" sans parvenir à convaincre grand monde.
- Le P.C résiduel, encore figé dans ses dogmes et sa rigidité, par ailleurs enfermé dans son histoire, poursuit son évanescence continue au plan électoral malgré les bonnes prestations médiatiques de son sympathique candidat aux Européennes.
- La « génération Hamon », européiste et atlantiste, n’aura été, comme le chante certain poète qu’une rose n’ayant vécu que…. ce que vivent les roses.
- Que dire enfin des verts de Jadot, "régénérés" ou revigorés par l’apport d’une jeune "bobocratie" mais dont on s’apercevra assez vite qu’ils sont "de gauche" (Jadot en tête) comme peuvent l’être les anciennes "gloires" vertes devenues soupivores attitrées au banquet macronien.
- LFI, minée par des contradictions idéologiques internes, comporte de brillantes individualités, mais elle a résisté difficilement à la diabolisation constante et soutenue dont elle a fait les frais de la part des médias dominants et de leurs chiens de garde, de même qu'à une ligne multipolaire de moins en moins lisible pour le commun des électeurs.
- Le P.S, par suite d’une dérive accentuée vers le libéral-socialisme et l’atlantisme est désormais réduit à une misérable peau de chagrin qui se réclame "de gauche" sans parvenir à convaincre grand monde.
- Le P.C résiduel, encore figé dans ses dogmes et sa rigidité, par ailleurs enfermé dans son histoire, poursuit son évanescence continue au plan électoral malgré les bonnes prestations médiatiques de son sympathique candidat aux Européennes.
- La « génération Hamon », européiste et atlantiste, n’aura été, comme le chante certain poète qu’une rose n’ayant vécu que…. ce que vivent les roses.
- Que dire enfin des verts de Jadot, "régénérés" ou revigorés par l’apport d’une jeune "bobocratie" mais dont on s’apercevra assez vite qu’ils sont "de gauche" (Jadot en tête) comme peuvent l’être les anciennes "gloires" vertes devenues soupivores attitrées au banquet macronien.